tag:blogger.com,1999:blog-8803714985889829837.post1756221301605033446..comments2024-02-08T00:46:37.703+01:00Comments on SMORGASBLOG: T'ES FOU, JERRY ! (Smorgasbord, Jerry LEWIS, 1983)bbjanehttp://www.blogger.com/profile/14528544246426848445noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-8803714985889829837.post-34831182097967984942011-10-01T09:33:03.164+02:002011-10-01T09:33:03.164+02:00merci pour ce film, je ne me souvenais pas d'a...merci pour ce film, je ne me souvenais pas d'avoir vu ce métrage bien que la capture de la tête inoubliable de jerry lorsqu'il est dans la banque me disait bien quelque chose.<br />une tronche irrésistible faut l'avouer.<br />billet assez poignant je dois dire ,Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8803714985889829837.post-12524877973413448032011-07-19T12:33:23.271+02:002011-07-19T12:33:23.271+02:00@ Fauna : Merci pour vos commentaires, toujours dé...@ Fauna : Merci pour vos commentaires, toujours développés et sensibles. Je suis heureuse de voir que Jerry Lewis continue d'avoir des admirateurs en France, où l'on ne parle plus guère de lui, pourtant. Il y a en effet du défi dans ce film : celui d'un artiste souvent conspué en son pays (du moins, par la critique), abîmé par la maladie, et menacé par l'oubli. La scène finale est très révélatrice de sa désillusion. L'ensemble est paradoxalement mélancolique, comme vous le soulignez si bien, et suscite une poignante impression de testament spirituel. Je vais vérifier l'état de ma copie VHS de "Hardly Working", le film précédent de Jerry, et si elle n'est pas trop catastrophique, je la proposerai ici cet été, comme le suggère Adam Eterno... Amitiés et merci de votre fidélité...bbjanehttps://www.blogger.com/profile/14528544246426848445noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8803714985889829837.post-39566497692615645462011-07-19T02:34:11.581+02:002011-07-19T02:34:11.581+02:00J'ai adoré. J'aime bien Jerry Lewis à la b...J'ai adoré. J'aime bien Jerry Lewis à la base, parce que ma mère l'aime beaucoup (souvenirs etc.). Je ne connaissais pas ce film (et ma mère non plus)... enfin, nous ne le connaissions que de nom (comme souvent). <br />Jolie surprise et plus encore. Le Jerry que l'on connait - on voudrait que certaines choses durent éternellement - et puis quelque chose de tristounet qui s'immisce (il se peut que je ne sache plus écrire correctement ce verbe), quelque chose d'évident comme un règlement de comptes. C'est comme ça que je l'ai ressenti, une sorte de défi. Dans l'autre billet, vous parlez de Baby Jane et impossible de ne pas y penser, oui ! Une lettre de Lewis. Mélancolie soudaine ou plutôt, la "joy of grief" de Keats. C'est mon ressenti et je peux me tromper. <br />Ce qui est sûr, c'est que je vous remercie, encore une fois, pour le partage.Fuchsiahttps://www.blogger.com/profile/17819209074615338966noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8803714985889829837.post-74614733030320864532011-07-11T14:05:06.821+02:002011-07-11T14:05:06.821+02:00Merci BBJane. Un Jerry très rare, d'autant plu...Merci BBJane. Un Jerry très rare, d'autant plus que c'est le dernier. En attendant "Hardly Working" peut-être.Anonymousnoreply@blogger.com